Est ce que tu savais que le vidéofolio est à la vidéo ce que le portfolio est à la photo ? Non ? Nous non plus il y a 5 mn de cela mais on trouve que cela sonne bien et que ça veut bien dire ce que ça veut dire. Pour la 4ème fois, nous avons eu la chance d'aller sur la Megavalanche Saint Paul Ile de la Réunion - 18ème édition car oui Monsieur, George Edwards ne sait créer que des monuments qui durent - ce rendez vous extraordinaire de fin de saison que tout rider digne de ce nom (et qui en a les moyens, c'est vrai) devrait faire une fois au moins dans sa vie.
Est ce que tu savais que le vidéofolio est à la vidéo ce que le portfolio est à la photo ? Non ? Nous non plus il y a 5 mn de cela mais on trouve que cela sonne bien et que ça veut bien dire ce que ça veut dire. Pour la 4ème fois, nous avons eu la chance d'aller sur la Megavalanche Saint Paul Ile de la Réunion - 18ème édition car oui Monsieur, George Edwards ne sait créer que des monuments qui durent - ce rendez vous extraordinaire de fin de saison que tout rider digne de ce nom (et qui en a les moyens, c'est vrai) devrait faire une fois au moins dans sa vie.
Est ce que tu savais que le vidéofolio est à la vidéo ce que le portfolio est à la photo ? Non ? Nous non plus il y a 5 mn de cela mais on trouve que cela sonne bien et que ça veut bien dire ce que ça veut dire. Pour la 4ème fois, nous avons eu la chance d'aller sur la Megavalanche Saint Paul Ile de la Réunion - 18ème édition car oui Monsieur, George Edwards ne sait créer que des monuments qui durent - ce rendez vous extraordinaire de fin de saison que tout rider digne de ce nom (et qui en a les moyens, c'est vrai) devrait faire une fois au moins dans sa vie. Voici en 4 volets vidéo quelques impressions de voyage jetées spontanément sur le clavier.
Aller à la Réunion, c'est d'abord se farcir une grosse dizaine d'heures de vol, avec les trajets qui vont avant et après pour faire bonne mesure. Ah l'arrivée au Terminal 2A de Roissy Charles de Gaulle aux comptoirs d'Air Austral, les yeux grands ouverts à la recherche de têtes connues. Tiens, Rémy Absalon et le crew Irwego, hey CG ! Tudieu les suisses de Verbier ou les alsaciens que l'on retrouvent au bar devant une bière qui annonce la couleur du trip... C'est le club des gros cartons à vélo que les autres passagers regardent de travers mais au final, tout le monde se retrouve dans la promiscuité de la classe économique pour une nuit plus ou moins ensommeillée, cap plein sud !
L'arrivée à Saint Denis n'est pas un émerveillement. En effet, les abords de l'aéroport ne sont pas merveilleux. Pas de plage turquoise survolée en rase motte, de la brume en général sur les sommet et une ville que rien ne distingue ou presque d'une cité métropolitaine. Mais quand vous franchissez le seuil de l'aéroport, quand vous vous retrouvez face au souffle chaud à mi-chemin entre le sèche-cheveux et le grille-pain, là vous savez que vous y êtes ! Alors plus rien ne comptera plus pour vous que d'enlever ce foutu jean et ces saloperies de chaussures pour les troquer contre un board-short et des tongues, avant de vous précipiter à la plage !
La course n'est que dans une semaine, on a du temps devant nous. Mais l'an dernier, l'incendie du Maido nous avait privé du haut du parcours. L'envie de revoir rapidement la fabuleuse vue sur le cirque de Mafate et le superbe sentier des murailles est la plus forte. On part avec les 2 riders du Cube Action Team, Nicolas Lau et le suisse Gusti Wildhaber (aucun rapport). On s'entasse à 4 dans une Twingo 2 places, les 2 riders et leurs vélos dans le coffre. Un grand numéro de contorsionniste pour nos 2 pilotes qui supporteront 1 heure de route de montagne dans ces conditions ! Hélas, le départ de nuit à 4h30 pour profiter de la belle lumière et le démontage des roues sur le parking aura raison de Gusti, son axe de roue arrière est resté en bas sur le bitume... Le suisse aura du mal à garder son calme et à respecter le quiétude contemplative de la dizaine de touristes qui ont fait le pèlerinage. D'ailleurs il n'y est pas arrivé et la montagne a longtemps résonné de "Scheisse !" bien sonores... et nous sommes partis sans lui.
Grâce à Mathias du site lifestyle974.com et lecteur assidu, nous avons pu organiser une session d'initiation au surf. Seulement voilà, dans l'ambiance de paranoïa collective liée à la présence (bien réelle) de requins, pas facile de trouver des riders volontaires. Il s'en est trouvé 2 suffisamment fous pour croire Mathias et avoir confiance en sa gestion du risque. Ce sont donc Bérengère Boes et Nico Quéré qui s'y sont collés. Rendez vous est pris pour le jeudi matin à 8h30 (les requins retournent se coucher normalement à cette heure-ci, ça ne craint rien) sur le parking de la plage de 3 Bassins, haut lieu du surf réunionnais. Nous y sommes accueillis par une communauté qui vit sur la plage dans des tentes Quechua, ne vivant que pour la planche. Les 4 heures que nous y avons passées ont été magiques, une plongée dans un univers à part tout aussi rafraichissante que celle dans l'océan. Et nous devons l'avouer, pendant les 2 heures passer dans l'eau, au milieu des tortues de mer, nous avons fort peu pensé aux requins... Trop occupé par le plaisir, le challenge de monter sur la planche ou celui d'en faire des images !
Et pour que la journée ressemble à une journée de rêve, Mathias nous envoie la finir sur le petit bike park du Dos d'Ane, ensemble de trails ludiques au milieu des champs de cannes à sucre où Nico et Mark Edwards ont pu envoyer quelques belles lignes. Vraiment une journée de rêve.
Ah oui, on est là pour une course, c'est vrai. C'est la Megavalanche de la Réunion, 18ème édition de la DH marathon la plus courue de l'hémisphère sud. Sur le parcours sanctuarisée du Maido, les coureurs vont se retrouver le samedi pour 4 spéciales faisant office de qualification, puis le dimanche pour le mass start final qui sacrera le roi de l'Ile Bourbon. Nous ne reviendrons pas sur la course (dont les résultats sont dans cette news) qui a déjà fait couler beaucoup d'encre. Car participer à la Mega de la Réunion c'est d'abord participer à une grande fête de fin de saison, où la convivialité qui règne toute l'année sur les circuits d'enduro et DH marathon est à son apogée, comme en témoigne la grosse fiesta du dimanche soir.
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