La Méga 2012 nous avait laissé avec un arrière gout dans la bouche, trop dangereuse, la poisse de Nicolas Vouilloz et malgré tout une belle victoire de Rémi Absalon.
Le cru 2013 restera dans les annales, grace à un hiver à rallonge et à une météo au top.
La Méga 2012 nous avait laissé avec un arrière gout dans la bouche, trop dangereuse, la poisse de Nicolas Vouilloz et malgré tout une belle victoire de Rémi Absalon.
Le cru 2013 restera dans les annales, grace à un hiver à rallonge et à une météo au top.
La Méga 2012 nous avait laissé avec un arrière gout dans la bouche, trop dangereuse, la poisse de Nicolas Vouilloz et malgré tout une belle victoire de Rémi Absalon.
Le cru 2013 restera dans les annales, grace à un hiver à rallonge et à une météo au top.
D'ailleurs la décontraction Rémi Absalon, tenant du titre, à la veille du départ faisait plaisir à voir.
De mémoire de Georges Edwards, cela faisait bien trop longtemps que le mythique départ de la Méga n'avait pas été en aussi bonne condition, un vrai glacier !
Le départ a eu lieu à l'heure prévue ou presque, 9h10 et 38 minutes et 42 secondes plus tard, Jérôme Clementz était à l'arrivée à Allemont.
Pas de crash massif, pas d'histoire de block pass suicidaire, que du ride et de l'effort. Notons juste que Damien Otton a pris le rôle du poissard avec un bris de frein alors qu'il était dans le bon timing.
A Poutran, le fameux pédalage du 2/3 de la course, les positions étaient déjà figées, Jérôme Clementz passant avec 20 secondes d'avance sur Rémi Absalon et plus d'une minute sur Dan Atherton. La descente sur Allemont n'étant plus qu'une formalité.
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