Après l'attribution du prix du Meilleur Scénario, voici donc l'heure de récompenser le meilleur spécialiste des nuits blanches sur l'ordinateur, le roi des raccourcis clavier, le Mozart de la transition, l'Empereur du cut au scalpel, je veux bien sûr parler du prix du Meilleur Montage.
Après l'attribution du prix du Meilleur Scénario, voici donc l'heure de récompenser le meilleur spécialiste des nuits blanches sur l'ordinateur, le roi des raccourcis clavier, le Mozart de la transition, l'Empereur du cut au scalpel, je veux bien sûr parler du prix du Meilleur Montage.
Après l'attribution du prix du Meilleur Scénario, voici donc l'heure de récompenser le meilleur spécialiste des nuits blanches sur l'ordinateur, le roi des raccourcis clavier, le Mozart de la transition, l'Empereur du cut au scalpel, je veux bien sûr parler du prix du Meilleur Montage. Un prix richement doté avec 750 euros de lots El Gallo offert par nos amis de Draille Bike. Nous ne rappellerons pas le principe d'attribution des points, tel que nous l'avons décrit dans la news du Meilleur Scénario. Que ceux qui prennent le train en marche s'y reportent.
Ce prix récompense le gros boulot fait par l'équipe de la Da"u à grands coups de fond vert et d'animation, pour aboutir à un résultat très propre, qui bénéficie également de bonnes images de gros vélo (on en reparlera...) et d'un petit scénario à la cool.
Si le 1er prix peut être qualifié de "démonstration numérique", la vidéo des Welded-riders Antoine Bussier et Romain Willerval se distingue par sa réussite artistique. En effet, le montage n'use que de peu d'artifice, il est très sobre et ce qui frappe en premier lieu, c'est l'excellent choix des musiques pour ce film très "all-mountain". Et les coupes et les plans de suivre le rythme tout en nous prenant souvent à contrepied, par des accélérations brutales ou au contraire des hyper-ralentis twixtoriens. Bien servi par de magnifiques images (on en reparlera là aussi...), l'ensemble est non seulement très clean mais l'histoire qui est racontée, celle d'une sortie ordinaire (si tant est que l'on puisse dire que la Chartreuse est ordinaire...), est très prenante, ce qui est sans doute l'un des exercices les plus difficiles de la réalisation vidéo.
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