Bah après je suis pas un foudre de guerre non plus.
J'ai de bons cuissots mais ils sont bons car je suis lourd, donc au final, j'suis un veau
Après, les montées je temporise parceque d'une ça me dérange absolument pas de prendre mon temps pour monter, de deux monter doucement c'est une chose mais finir à côté du vélo ça m'énerve (même si des fois c'est arrivé que les jambes te laissent pas le choix) et de trois en montagne le but c'est d'arriver en haut, en IDF le but c'est de garder de la fraicheur.
Car pour descendre, si t'as cramé tout le jus pour monter tu subit et t'es plus dans le contrôle. Et être passager sur le vélo, le cul en arrière en espérant que ça passe c'est surement une des pire sensations qu'il m'arrive d'avoir. Assez de jus pour continuer à pédaler mais plus assez pour profiter (surtout en semi rigide, faut quand même rester bien actif sur le vélo si tu veux pas te faire peur dès que tu ouvre un peu les freins).
Après ça arrive surtout en rando, quand on fais notre tour sur les trails du coin quand c'est comme ça je préfère rentrer.
Donc pour retarder le moment où ça va arriver, moralité je temporise.
Ceci étant, ce sont des choses qui se travaillent, un peu de renfort musculaire certainement, puis faudrais que j'arrive à me remettre sur mon poids de début d'année.
inscrit le 31/07/17
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