Supernunuche
Supernunuche

inscrit le 21/10/17
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je prends le sujet en cours de route, étant une débutante dans le domaine de l'enduro. Mais, pour le peu que je fais, j'ai mis tout de suite des genouillères, lunettes adaptées, et récemment casque intégral (mentonnière amovible). J'ai viré les pédales auto, car je manquais de confiance et ne m'aidait pas à progresser. Je pense, que regarder des vidéos au ralenti de descendeurs pro aide à peu à mémoriser le geste, ou inversement, visionner des chutes, aide à ne pas reproduire les mauvais gestes. Mais, me concernant, tout se passe dans la tête. Il me faut bien 1 heure de ride cool pour avoir envie de me "défoncer", enfin, tester mes limites ; voir si là, ça passe et ailleurs ça passe pas. Je me fixe des petits challenges. Par exemple, à mes débuts (novembre 2017), je faisais une fixette sur les trottoirs que je n'osais pas monter. Maintenant c'est ok et j'adore le faire. Le gras, le sable, les racines, c'est ok. Les graviers, moins, faut que je me perfectionne la dessus dans les virages. Reste un gros morceau à appréhender pour moi : le dénivelé "casse gueule", car je psychote à mort. Mais je pense y arriver, car je commence à bien connaitre les réactions de mon vélo. J'ai pu m'apercevoir, avec ridicule, qu'à chaque chute, c'est moi qui n'osais pas me laisser "aller", car le vélo, lui, tenait bien la route.
VTT1954
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inscrit le 27/11/16
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T'as pas peur de pèter ta roue avant en montant les trottoirs ?
vinceTD
vinceTD

inscrit le 11/06/18
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Si tu lèves un peu ça passe sans rien casser ;) c'est pas des roues en papier :lol:
Dadoulinet
Dadoulinet

inscrit le 07/09/17
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Supernunuche ( 4 juil.) disait:

je prends le sujet en cours de route, étant une débutante dans le domaine de l'enduro. Mais, pour le peu que je fais, j'ai mis tout de suite des genouillères, lunettes adaptées, et récemment casque intégral (mentonnière amovible). J'ai viré les pédales auto, car je manquais de confiance et ne m'aidait pas à progresser. Je pense, que regarder des vidéos au ralenti de descendeurs pro aide à peu à mémoriser le geste, ou inversement, visionner des chutes, aide à ne pas reproduire les mauvais gestes. Mais, me concernant, tout se passe dans la tête. Il me faut bien 1 heure de ride cool pour avoir envie de me "défoncer", enfin, tester mes limites ; voir si là, ça passe et ailleurs ça passe pas. Je me fixe des petits challenges. Par exemple, à mes débuts (novembre 2017), je faisais une fixette sur les trottoirs que je n'osais pas monter. Maintenant c'est ok et j'adore le faire. Le gras, le sable, les racines, c'est ok. Les graviers, moins, faut que je me perfectionne la dessus dans les virages. Reste un gros morceau à appréhender pour moi : le dénivelé "casse gueule", car je psychote à mort. Mais je pense y arriver, car je commence à bien connaitre les réactions de mon vélo. J'ai pu m'apercevoir, avec ridicule, qu'à chaque chute, c'est moi qui n'osais pas me laisser "aller", car le vélo, lui, tenait bien la route.


Il m'arrive sensiblement la même chose que toi, mais pour une toute autre raison : je me suis blessé en début d'année, près de 5 mois d'arrêt, et alors qu'à part les gros sauts de freeride, rien ne me faisait vraiment peur, à présent je me retrouve avec un sacré blocage sur des portions que je passais sans réfléchir (des marches à descendre, par ex).

Tu as utilisé le bon mot : psychoter... c'est lui le vrai ipiège parce que plus tu feras de l'enduro, plus tu verras que des obstacles ne peuvent se passer qu'à une certaine vitesse (en plaçant bien son corps et en soignant la trajectoire aussi, cela va de soi).

De mon côté, j'ai bon espoir que ça passe au bout de quelques sorties...et je suis sûr qu'il en sera de même pour toi.
Je te citerai ce qu'un de mes potes rides m'a dit lorsque je lui ai avoué avoir 'regressé' dans l'engagement :
"Fais le vide, écarte le maximum d'a priori, d'autres sont passés là avant toi, et ils étaient probablement moins bons que toi".
Dadoulinet
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PS : le gravier, c'est presque mon terrain favori :grin:
Léa W2L
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Dadoulinet ( 5 juil.) disait:

Je te citerai ce qu'un de mes potes rides m'a dit lorsque je lui ai avoué avoir 'regressé' dans l'engagement :
"Fais le vide, écarte le maximum d'a priori, d'autres sont passés là avant toi, et ils étaient probablement moins bons que toi".


C'est souvent ce qui m'aide quand je bloque pour un jump ou une portion engagée. Si je vois quelqu'un passer je me dis "ok ça passe" et il ne me reste plus qu'à trouver en moi la solution.
Je me dis un truc du genre
"ok j'ai jamais fait aussi gros, donc va falloir être full alerte pour gérer les imprévus"
"est-ce que j'ai envie de le faire ?" >> finalement ça c'est mon plus gros atout dans la prise de décision. Je me pose toujours cette question, pour qui est-ce que je le fais ? Et il faut que la réponse soit "pour moi" et sinon je passe mon chemin mais cela ne m'empêchera pas de bien dormir le soir.
VTT1954
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Bonne réflexion ma chère Léa
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Supernunuche ( 4 juil.) disait:

je prends le sujet en cours de route, étant une débutante dans le domaine de l'enduro. Mais, pour le peu que je fais, j'ai mis tout de suite des genouillères, lunettes adaptées, et récemment casque intégral (mentonnière amovible). J'ai viré les pédales auto, car je manquais de confiance et ne m'aidait pas à progresser. Je pense, que regarder des vidéos au ralenti de descendeurs pro aide à peu à mémoriser le geste, ou inversement, visionner des chutes, aide à ne pas reproduire les mauvais gestes. Mais, me concernant, tout se passe dans la tête. Il me faut bien 1 heure de ride cool pour avoir envie de me "défoncer", enfin, tester mes limites ; voir si là, ça passe et ailleurs ça passe pas. Je me fixe des petits challenges. Par exemple, à mes débuts (novembre 2017), je faisais une fixette sur les trottoirs que je n'osais pas monter. Maintenant c'est ok et j'adore le faire. Le gras, le sable, les racines, c'est ok. Les graviers, moins, faut que je me perfectionne la dessus dans les virages. Reste un gros morceau à appréhender pour moi : le dénivelé "casse gueule", car je psychote à mort. Mais je pense y arriver, car je commence à bien connaitre les réactions de mon vélo. J'ai pu m'apercevoir, avec ridicule, qu'à chaque chute, c'est moi qui n'osais pas me laisser "aller", car le vélo, lui, tenait bien la route.


Salut, si je peux permettre de donner mon avis: attention avec ça. C'est souvent à cause de ça qu'on se fait mal, lorsqu'on commence à être un peu à l'aise sur le vélo, qu'on laisse le vélo filer en se disant qu'il fera le taf. Je suis persuadé que c'est la majorité des blessures en bikepark.
Pour progresser, il vaut mieux rester sur un obstacle qu'on est capable de passer et essayer de le passer de toutes les manières possibles, qu'affronter un obstacle dont on est pas sûr et se jeter.
VTT1954
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Le tout est de ne pas bousiller son vélo !!!
Supernunuche
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Bjr, ce qui m'aide beaucoup c'est, un environnement sans piéton, et quelques runs la nuit, avant l'aube. Avec plein phare bien sur. D'abord, je suis seule dans la nature et ensuite vigilante +++. Après quand je reprends le meme parcours en plein jour, c'est beaucoup plus évident à aborder
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