Le vent aura donc jusqu'au bout perturbé le slopestyle du Crankworx, après avoir foutu en l'air les qualifications et le best trick, il aura donc également perturbé les finales. Tous les riders s'étaient donc qualifiés pour les finales, hormis ceux qui comme Sam Reynolds ou Anthony Villoni se sont blessés.
Le vent aura donc jusqu'au bout perturbé le slopestyle du Crankworx, après avoir foutu en l'air les qualifications et le best trick, il aura donc également perturbé les finales. Tous les riders s'étaient donc qualifiés pour les finales, hormis ceux qui comme Sam Reynolds ou Anthony Villoni se sont blessés.
Le vent aura donc jusqu'au bout perturbé le slopestyle du Crankworx, après avoir foutu en l'air les qualifications et le best trick, il aura donc également perturbé les finales. Tous les riders s'étaient donc qualifiés pour les finales, hormis ceux qui comme Sam Reynolds ou Anthony Villoni se sont blessés. L'organisation a été bien inspirée en convoquant à l'aube - tout est relatif - à 12h30 les riders pour une 1ere session et la possibilité de faire 2 runs. Le vent, déjà présent, a provoqué beaucoup de chutes, mais les plus motivés (et sans doute un peu chanceux car la loterie des rafales est valable pour tous) ont réussi à sortir de beaux runs, à l'image de 3 frenchies : Tomas Lemoine (5eme), Yannick Granieri (4eme) ou Léo Delfour-Barsac (2eme) qui finissent dans le top5. Brandon Semenuk tue l'histoire dés son 1er run tandis que Martin Soderstrom obtient la 3eme note grâce à son bagage technique sur un set up massif mais venté, ne permettant guère d'envoyer de grosses figures.
Hélas, le 3eme run prévu à 19h ne pourra pas avoir lieu, le vent ayant même forcit. Le podium du matin devient donc définitif, permettant notamment à Léo et Tomas de réaliser une extraordinaire performance, sans doute un peu le fruit du hasard et des conditions, mais surtout dû à leur exceptionnel talent de jeunes pousses du freestyle.
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