ratm54 ( 6 juil.) disait:
NBF-Ronron ( 6 juil.) disait:
ratm54 ( 6 juil.) disait:
jycstd ( 6 juil.) disait:
Ecoute sur Meta mise à part que j'ai découpé mes plaquettes arr (hauban noir à la fin) pas de soucis, l'autre jour sur un freeride de 350 D- à 30-35% de moyenne (donc du plus pentu dedans) pareil, RAS.
Après des exercices type MOH avec énormément de D- clairement j'ai pas assez chez moi en cumulé pour pouvoir dire.
Mais sur le reste ça tiens sans soucis de perte de frein ou de variation de garde.
Il faut aussi essayer le jour il fait plus de 25° genre 28-30°.
Je pense que ça change rien du tout sur un frein qui peut monter à plusieurs centaines de degrés, c'est pas 10 degré en plus qui vont changer quelquechose.
A la limite rouler en hiver par température négative peut avoir un effet bénéfique.
Mais ce qui fait chauffer un frein, c'est de rester sur les freins, les longs freinages sans laisser le temps de redescendre en température.
Le plus simple c'est que tu mettes un sac de 25 kgs dans le dos et que tu viennes me faire une démonstration avec tes freins sur un freeride à Morzine le jour ou il fait 28°.
Ensuite on rediscute de technique
Sérieusement, relis ce que tu as dis.
Tu rajoutes 25kg sur le vélo, soit 30% de poids en plus , c'est pas 5° qui va faire une différence sur plusieurs centaines de degrés, soit même pas 1% si on considère 200°, c'est bien les 25kg en plus et la technique de pilotage.
Donc les 5°, allez même 20° et on dit qu'il fait 40°, ça fait toujours que 10%, ça fait quasiment aucune différence par rapport à la technique de freinage et au poids du rider.
J'ai l'habitude de rouler par tous les temps et c'est clairement ma technique de pilotage qui fait que je fais fumer ou pas les freins.
inscrit le 15/09/19
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